• budapest....et allons enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé, soirée de gloire entassée dans du vauvray et la limonade magique, un allé retour dans une hongie douteuse peuplée soudainement de violeur et psycopathe au breuvage psycédélique de vin et coca cola..entré dans un délire extatique profond, quel est le secret du l'attraction terrestre ? qui verra vraiment le serpent éléctrique dans ce ciel noir, celui de notre réalité et gout de vivre retrouvé, devant le miroir de nos vérités...douce illusion de la vie en ce baladant dénudés dans les rues et de se retrouver dans l'immensité intersidérale d'un stade de foot vide en plein milieu de la nuit...nous aurions voulu être des atistes, le temps d'une soirée senior et compagnie devant leur écran plasma, clé de leur rire..nous aurions voulu être des acteurs ,histoire de jouer plusieurs peau, s'évader une fois de plus quand l'alcool n'en est pas la clé..confidences dans des chiottes lugubres, et puis des rhums des femmes de la bière non de dieu pour réveiller ces gens en  léthargie qui ne se rendent peut être pas compte du bohneur qui peuvent atteindre, de leurs limites qui  peuvent ne plus exister l'espace d'une chanson...

     


    1 commentaire

  • votre commentaire
  • Ma bohème

    Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
    Mon paletot aussi devenait idéal ;
    J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
    Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

    Mon unique culotte avait un large trou.
    - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
    Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
    - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

    Et je les écoutais, assis au bord des routes,
    Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
    De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

    Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
    Comme des lyres, je tirais les élastiques
    De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !


    votre commentaire
  • "Moi je dis que les femmes seront vraiment les égales des hommes le jour où elles accepteront d'être chaunes et de trouver ça distingué"

    Coluche


    votre commentaire
  • Le chat noir

    "Relativement à la très etrange et pourtant tres familiere histoire que je vais coucher pas écrit, je n'attends ni sollicite la créance. Vraiment, je serais fou de m'y attendre, dans un cas où mes sens eux-mêmes rejettent leur propre témoignage. Cependant, je ne suis pas fou,_et très certainement je ne rêve pas. Mais demain je meurs, et aujourd'hui je voudrais décharger mon âme. Mon dessein immédiat est de placer devant le monde, clairement, succintement sans commentaires une série de simple événements domestiques. Dans leurs conséquences, ces évenements m'ont terrifié, _ m'ont torturé, _ m'ont anéanti. Cependant, je n'essairai pas de les élucider . Pour moi, ils n'ont guère présenté que de l'horreur ; _ à beaucoup de personnes ils paraiteront moins terribles que baroques . Plus tard peut etre il se trouvera une intelligence qui réduira mon fantômeà l'etat de lieu commun, _ quelque intelligence plus calme, plus logique, et beaucoup moins excitable que la mienne, qui ne trouvera dans les circonstances que je raconte avec terreur qu'une succession ordinaire de causes d'effets naturels ."

    Poe "Nouvelles histoires extraordinaire"


    1 commentaire