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Je ne sais plus si nous nous etions tus ou si nous parlions tout bas là au café d'en face rue du port bas de la ville a droite,
mais je revois très bien la table et tes mains,
le thé, le café et le sucre à côté...
Cet après-midi là, dans la rue du java...tout n'allait pas si bien,
assis à la terrasse du café ,on voyait notre appartement,
si triste finalement avec nous dedans
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adieux
lorseque grâce aux printemps vous ne serez plus belle,
vieillotte grasse ou maigre avec des yeux méchants,
mere gigogne grave et qui rien ne reppelle
la fille aux traits d'infantebimmortelle en mes chants....
poemes a Lou. g.Appolinaire
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